nhanlikesub.click

Qui A Tué François Fillon Replay Juniors

Mon, 08 Jul 2024 17:16:37 +0000

» (Roselyne Bachelot, dans L'Homme qui ne pouvait pas être président) Les conclusions Après avoir décortiqué l'affaire dans tous les sens, BFM et France 5 en arrivent, sans surprise, au même constat: « Qui a tué François Fillon? C'est François Fillon! », estime Jean De Boishue, le vieux copain de quarante ans, accablé, dans le doc de BFM. Totalement raccords, les deux films expliquent avant tout le fiasco de la campagne par l'accumulation de maladresses et de décisions aberrantes prises par le candidat, insistent sur la manière dont il a payé le décalage entre un discours de probité, d'exemplarité, et la réalité. Jean de Boishue ne décolère pas. « Si je ne pardonne pas, c'est que je pense que l'intelligence, dans la vie, sert à maîtriser ses défauts. Sinon l'intelligence ne sert à rien. » Dans le documentaire de France 5, Roselyne Bachelot, elle, porte sur Fillon le regard d'une infirmière opposée à l'acharnement thérapeutique. Evoquant la fin de campagne désastreuse, elle explique qu'à ce moment-là: « On n'a qu'un espoir, c'est qu'il arrive à sortir de cela.

Qui A Tué François Fillon Replay W9

On nage en plein délire. Le soupçon tue encore plus que la vérité Alba Ventura On voit, d'un côté, un Jean-Pierre Jouyet dont les propos ont été enregistrés par les journalistes, qui change de version en 36 heures (d'ailleurs il serait temps d'entendre l'enregistrement) et qui, après avoir protégé, François Fillon, le "balance". De l'autre côté, on a un François Fillon qui se pose en victime et qui affirme que Jean-Pierre Jouyet ment. C'est parole contre parole. Il y en a forcément un des deux qui ment. Le plus terrible dans cette affaire, c'est qu'avec tout ce qui est raconté - vrai ou pas vrai -, il y a de toute façon le soupçon qu'il s'est passé quelque chose. On le sait: le soupçon tue encore plus que la vérité. Dans cette affaire, en tout cas, il y a au moins deux perdants. D'abord, François Fillon, qui n'était déjà pas au mieux de sa forme. Le troisième homme du duel Juppé/ Sarkozy se retrouve embarqué dans une affaire qui revient secouer la droite. Même si c'est faux, ses adversaires en feront un traître.

Qui A Tué François Fillon Replay M6

L'autre perdant, c'est Jean-Pierre Jouyet, qui se retrouve quand même pris en flagrant délit de mensonge. L'Élysée hérite d'une guerre des droites Jean-Pierre Jouyet peut-il rester secrétaire général de l'Élysée? Cela paraît difficile. Derrière lui, il y a François Hollande. Il engage la Présidence. Le chef de l'État peut aussi être embarqué dans le soupçon. La droite s'en sert déjà pour alimenter une machination et une manœuvre contre Nicolas Sarkozy. François Hollande va devoir trancher. Il va devoir sans doute prendre ses distances et se justifier, dire qu'il n'était pas au courant, qu'il n'a pas envoyé son secrétaire général dans cette affaire, ne serait-ce que pour se protéger. Dans cette affaire, l'Élysée a quand même réussi à se prendre en boomerang - "en pleine poire", si l'on ose dire - une guerre des droites, qui aurait dû le servir. C'est quand même un exploit. L'actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S'abonner à la Newsletter RTL Info

18, 19, bientôt 20% mais rassurez-vous ça n'ira pas plus haut. Votre confrère Libération a même consacré sa une du week-end à ce phénomène: "Et si c'était quand même lui? " Ce "quand même" sonne comme un aveu, entendez "malgré tout ce qu'on lui a mis dans la tronche"…Pendant ce temps-là, l'escroquerie hollandaise, celle de la candidature "ni de droite ni de gauche" de ce jeune Macron qui suinte le socialisme des beaux-quartiers, saute aux yeux de tous. La baudruche de l'homme neuf se dégonfle à vue d'oeil. On ne gouverne pas un pays comme la France avec un programme et des députés tirés au sort via internet. Mes électeurs le savent, et lorsqu'interrogés par les instituts de sondage, ils font mine de m'avoir abandonné, c'est parce qu'ils ont compris ce que j'attends d'eux. De se taire, désormais, jusqu'au 23 avril, dans l'isoloir. Là, ils pourront donner libre court à leur républicanisme aigü. Car dans trois semaines, voyez-vous, à 20h il faut que la surprise soit complète lorsque mes sourcils légendaires feront face à la blondeur chelou de Mme Le Pen.