Par continuité de, c'est-à-dire (cf. calcul de la question A3).
donc est vraie. Conclusion: par récurrence, la propriété est vraie pour tout entier. Correction de l'exercice 2 sur le terme d'une suite: Si, on note:. Initialisation: Pour, Donc est vraie. Hérédité: Soit donné tel que soit vraie. On calcule d'autre part: et on a donc prouvé que On a démontré que est vraie. Pour démontrer une égalité de la forme, il est plus élégant de partir de pour arriver à. Lorsque cela vous paraît trop compliqué, vous pouvez comme ici, démontrer que et sont égales à la même quantité. Exercice récurrence suite 7. Ce sera peut être ce que vous ferez pour démontrer passer de à, en écrivant l'égalité que vous devez prouver au rang en la simplifiant. 2. Somme de termes d'une suite et récurrence Exercice 1 sur la somme de termes et récurrence: Pour tout entier, on note Pour tout, montrer que Exercice 2 sur la somme de termes en terminale: On note et. Montrer que pour tout,. Correction de l'exercice 1 sur la somme de termes et récurrence: On note pour Initialisation: Si Hérédité: Soit fixé tel que soit vraie.
1. c. Clique ICI pour revoir l'essentiel sur croissance, majoration et convergence. On a: $u_0\text"<"1$; donc, d'après le 1. a., $(v_n)$ est majorée (par 1). Or, d'après le 1. b., $(v_n)$ est croissante. Par conséquent, $(v_n)$ est convergente. 2. Soit $n$ un entier naturel. $w_{n+1}-w_n={1}/{v_{n+1}-1}-{1}/{v_n-1}={1}/{{1}/{2-v_n}-1}-{1}/{v_n-1}={1}/{{1-(2-v_n)}/{2-v_n}}-{1}/{v_n-1}={2-v_n}/{-1+v_n}-{1}/{v_n-1}$ Soit: $w_{n+1}-w_n={2-v_n-1}/{v_n-1}={1-v_n}/{-1+v_n}=-1$ Donc, pour tout $n$ entier naturel, $w_{n+1}-w_n=-1$. Et par là, $(w_n)$ est arithmétique de raison -1. Notons ici que $w_0={1}/{v_0-1}={1}/{0-1}=-1$. 2. D'après le 2. a., $w_n=w_0+n×(-1)=-1-n$. Et comme $w_n={1}/{v_n-1}$, on obtient: $v_n=1+{1}/{w_n}=1+{1}/{-1-n}={-1-n+1}/{-1-n}={-n}/{-1-n}={n}/{n+1}$. Donc, pour tout naturel $n$, $v_n={n}/{n+1}$. Exercices corrigés sur les suites - Démonstration par récurrence - Limites de suites. 3. Clique ICI pour revoir l'essentiel sur les opérations sur les limites. Pour lever l'indétermination, on factorise alors les termes "dominants" du quotient et on simplifie.
Suites croissantes, suites décroissantes Soit \((u_n)\) une suite réelle. On dit que \((u_n)\) est croissante à partir de \(n_0\) si, pour tout entier naturel \(n\geqslant n_0\), \(u_{n+1} \geqslant u_n\). On dit que \((u_n)\) est décroissante à partir de \(n_0\) si, pour tout entier naturel \(n\geqslant n_0\), \(u_{n+1} \geqslant u_n\). Lorsqu'une suite est définie par récurrence, ses variations peuvent également être étudiées par récurrence. Exemple: On considère la suite \((u_n)\) définie par \(u_0=4\) et telle que, pour tout entier naturel \(n\), \(u_{n+1}=\sqrt{5+u_n}\). Pour tout entier naturel \(n\), on note \(\mathcal{P}(n)\) la proposition \(0\leqslant u_{n+1} \leqslant u_n\). Suites et récurrence - Maths-cours.fr. Montrons que \(\mathcal{P}(n)\) est vraie pour tout \(n\). On démontrera ainsi que la suite \((u_n)\) est décroissante et minorée par 0, un résultat qui nous intéressera fortement dans un prochain chapitre … Initialisation: \(u_0=4\), \(u_1=\sqrt{5+4}=\sqrt{9}=3\). On a bien \(0 \leqslant u_1 \leqslant u_0\).
Exemple: Pour tout entier naturel \(n\), on pose \(v_n=n^2+1\). La suite \((v_n)\) est minorée puisque pour tout \(n\), \(v_n\geqslant 1\). En revanche, elle n'est pas majorée. Exemple: Pour tout entier naturel \(n\), on pose \(w_n=(-1)^n \, n\). La suite \((w_n)\) n'est ni majorée, ni minorée. Lorsque la suite est définie par récurrence, une majoration ou une minoration peut être démontrée par récurrence. Exemple: On considère la suite \((u_n)\) définie par \(u_0 = 5\) et pour tout entier naturel \(n\), \(u_{n+1}=0. 5u_n + 2\). Pour tout entier naturel \(n\), on note \(\mathcal{P}(n)\) la proposition « \(u_n \geqslant 4\) ». Exercice récurrence suite software. Initialisation: On a bien \(u_0 \geqslant 4\). Supposons que \(\mathcal{P}(n)\) est vraie, c'est-à-dire \(u_n \geqslant 4\). Ainsi, \(0. 5 u_n \geqslant 2\) et \(0. 5u_n+2 \geqslant 4\), c'est-à-dire \(u_{n+1}\geqslant 4\). \(\mathcal{P}(n+1)\) est vraie. Ainsi, \(\mathcal{P}(0)\) est vraie et la proposition \(\mathcal{P}\) est héréditaire. D'après le principe de récurrence, on en conclut que pour tout entier naturel \(n\), \(\mathcal{P}(n)\) est vraie.