"Si nous pouvons atteindre même 100 kilomètres du site, nous pouvons lancer l'AUV, qui peut passer sous la glace", a-t-il déclaré. "C'est cette technologie qui nous donne la meilleure chance [de retrouver le naufrage]". Survie épique Le journal de l'expédition de Shackleton indique que l'Endurance a finalement coulé en novembre 1915, après avoir été piégé par la glace de mer en février de la même année et être resté coincé pendant l'hiver antarctique. [Les 7 environnements les plus difficiles sur Terre] L'emplacement où le navire a coulé a été déterminé par les lectures de sextant prises par le navigateur du navire, un Néo-Zélandais nommé Frank Worsley. "Nous avons les documents qu'il a écrits avec cette position finale", a déclaré Dowdeswell. "C'est pourquoi nous sommes relativement confiants quant à l'endroit où le navire a réellement sombré. " Le journal de Shackleton décrivait comment lui et les 27 membres d'équipage de l'Endurance dérivaient sur la banquise et dans des canots de sauvetage à travers la mer Weddell jusqu'à l'île Elephant, près de la pointe nord de la péninsule Antarctique.
"Les explorateurs, le journal de l'histoire" de Dimitri CASALI, Céline BATHIAS-RASCALOU et illustré par Rémi MALINGREY | Litterature, Explorateur, Nil
Sous la glace Survie épique Dans l'une des histoires les plus épiques de l'histoire de l'exploration polaire, Sir Ernest Shackleton et son équipage ont dû abandonner leur candidature pour être les premiers à traverser l'Antarctique, lorsque le yacht à vapeur Endurance s'est retrouvé prisonnier des glaces dans la mer de Weddell, de février à Novembre 1915. Un peu plus d'un siècle plus tard, une autre expédition scientifique va rechercher l'épave de l'Endurance. La perte de l'Endurance a contraint Shackleton et ses 27 membres d'équipage à s'échapper à travers la glace en direction de l'île Elephant, près de la pointe de la péninsule Antarctique. Pour ramener de l'aide, Shackleton et cinq autres membres d'équipage ont ensuite navigué dans un petit bateau pour l'île de la Géorgie du Sud dans l'océan Atlantique sud. La survie de l'équipage d'Endurance, qui obligeait les hommes à manger leur chien à un moment donné, est l'un des récits les plus épiques de l'histoire de l'exploration, a déclaré Julian Dowdeswell, directeur du Scott Polar Research Institute de l'Université de Cambridge dans la Royaume-Uni [Voir les images de l'incroyable expédition d'Ernest Shackleton] "C'est une histoire fantastique", a déclaré Dowdeswell à Le musée polaire de l'institut conserve le journal de Shackleton et d'autres objets de l'expédition Endurance.
La voie navigable par laquelle il a fait cela est nommée le détroit de Magellan. Intéressé par la culture générale et les affaires courantes? Cliquez ici pour rester informé et savoir ce qui se passe dans le monde grâce à notre section de connaissances générales et d'affaires courantes. Pour obtenir plus de mises à jour sur les affaires courantes, envoyez votre requête par mail à [email protected].
Entre 1853 et 1856, il traverse l'Afrique d'ouest en est, de Luanda (en Angola) à Quelimane (au Mozambique), en longeant le fleuve Zambèze jusqu'à la mer. Entre 1858 et 1864, il a exploré les vallées des rivières Shire et Ruvuma et le lac Nyasa (lac Malawi). En 1865, il part à la recherche de la source du Nil. Henry Morton Stanley Sir Henry Morton Stanley GCB (né John Rowlands; 28 janvier 1841 – 10 mai 1904) était un journaliste gallois, explorateur, soldat, administrateur colonial, auteur et homme politique qui était célèbre pour son exploration de l'Afrique centrale et sa recherche du missionnaire et explorateur David Livingstone, qu'il prétendit plus tard avoir accueilli avec la phrase désormais célèbre: « Dr Livingstone, je présume? ». Il est principalement connu pour sa recherche de la source du Nil, travail qu'il a entrepris en tant qu'agent du roi Léopold II de Belgique, qui a permis l'occupation de la région du bassin du Congo, et pour son commandement de l'expédition de secours Emin Pacha.
Non, mais mourir d'extase: de mon abolition naissaient aussitôt des indigènes munis de sagaies, la brousse, un explorateur casqué de blanc » 1. Sans doute, au palmarès des puissances exploratrices, la France n'occupe-t-elle pas le tout premier rang et a-t-elle peu de noms à opposer à ceux de Barth, de Livingstone, de Stanley... Au moment où la vague atteint son paroxysme, dans les années 1880-1900, là où la France envoie un voyageur, l'Angleterre ou l'Allemagne en ont dix ou vingt. Pourtant, si l'on veut bien ne pas se limiter aux « explorateurs célèbres », à ceux que l'on retrouve toujours dans les classiques «histoires des voyages», on s'aperçoit que les Français du XIXe siècle sont moins casaniers qu'on l'affirme souvent. A côté des « grands », comme Caillié, Duveyrier, F. Garnier ou Brazza, nous verrons apparaître de fortes personnalités beaucoup Rev. franc. d'Hist. d'Outre-Mer, t. LXIX (1982), nc 256.
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