« Frappe à ma porte!
De celles après lesquelles on court toute son existence, sans jamais réussir à la rattraper? Et si le Grand Créateur lui-même s'était déplacé en personne pour m'expliquer enfin les raisons de ma présence en ce Monde et le comment et le pourquoi de ce gigantesque capharnaüm? Peut-être avais-je raté une occasion unique, la chance de ma vie je ne le saurai jamais et c'est ça qui me rend fou _________________
Jury: Bonjour veuillez prendre place. Niveka: Bonjour merci, dit elle en s'asseyant face à eux. Jury: Donc parlez nous un peu de vous. Niveka: Je suis une disciple du dieu Énutrof, née au début du mois de novamaire de l'an 639 en région d'Hécate, ma famille décida d'emménager sur Hel Munster. Mon expérience s'est vite démarquée de celle de mon grand frère, Zyrko un disciple Xélor. Je me suis vite habillée de peau de chef de Bwork puis montant tranquillement les niveaux j'ai eu une vision. Le dieu Énutrof est venu me voir en rêve est m'a dit que ma destinée n'était pas le monde terrestre, mais plutôt le monde aquatique!! Alors j'ai empruntée la carte de crédit de mon chère paternelle et ne l'a pas laissée résider bien longtemps au fond de mon sac afin d'acheter ma nouvelle tenue de combat entièrement satinée de racine d'Abraknydes Ancestrales. Paroles Un ange frappe a ma porte de Natasha St-Pier. Jury: Vous vous battez contre qui ou quoi? Niveka: Umh vous allez trouver ça cocasse pour une Énutrof mais je suis une fervente Brâkmarienne, je tape donc régulièrement des Bontariens.
J'ai perdu mon père et ma mère, Mon premier né, bien jeune, hélas! Et pour moi la nature entière Sonne le glas. Je dormais entre mes deux frères; Enfants, nous étions trois oiseaux; Hélas! le sort change en deux bières Leurs deux berceaux. Je t'ai perdue, ô fille chère, Toi qui remplis, ô mon orgueil, Tout mon destin de la lumière De ton cercueil! J'ai su monter, j'ai su descendre. J'ai vu l'aube et l'ombre en mes cieux. Soprano une mere frappe a ma porte se. J'ai connu la pourpre, et la cendre Qui me va mieux. J'ai connu les ardeurs profondes, J'ai connu les sombres amours; J'ai vu fuir les ailes, les ondes, Les vents, les jours. J'ai sur ma tête des orfraies; J'ai sur tous mes travaux l'affront, Aux pieds la poudre, au coeur des plaies, L'épine au front. J'ai des pleurs à mon oeil qui pense, Des trous à ma robe en lambeau; Je n'ai rien à la conscience; Ouvre, tombeau. Marine-Terrace, 4 septembre 1855.