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Black Mirror Saison 5 Épisode 2

Tue, 02 Jul 2024 22:50:06 +0000

Dans une interview auprès de Entertainment Weekly, il a expliqué d'ailleurs clairement ses intentions finales: « Ce qu'on a voulu dire c'est comment cet énorme drame […] est réduit à quelque chose d'éphémère qui nous échappent, juste une notification ». Andrew Scott, le meilleur élément de Black Mirror saison 5 À dire vraie, pourquoi pas? C'est peu novateur, mais l'intention est là, bien réelle. Cependant, au-delà de cette idée, Smithereens met en lumière bien d'autres problèmes sous-jacents comme l'utilisation des données personnelles, la perte de contrôle sur les réseaux sociaux ou l'uberisation de la société. Des sujets intéressants qui sont tristement expédiés au profit de l'intrigue centrale et donc les motivations du preneur d'otage. Ainsi, cet épisode a priori riche et tendu par son pitch se transforme en un gigantesque spot de sécurité routière ou en simple avertissement sur l'addiction aux technologies encore. Pas de quoi crier au génie. À l'image de la série depuis quelque temps, Smithereens croule donc sous les thématiques sans jamais réussir à en dénoncer une clairement, le tout au cœur d' une écriture précise, mais particulièrement simpliste.

Black Mirror Saison 5 Episode 23

Là, c'est marrant un quart d'heure, un peu relou ensuite, et vachement long à se terminer, finalement. 16- Shut up and dance. Saison 3, épisode 3 On prend un malin plaisir à regarder cet épisode-ci, mais on le quitte avec la sensation désagréable de s'être fait avoir. C'est très malsain, assez limite, mais ça passe (en force). 15- Metalhead. Saison 4, épisode 5 Une intrigue qui n'a rien à voir avec les autres, car tenant sur un post-it. Comme dans le Duel de Spielberg, il est simplement question d'une poursuite. La mise en scène est vachement belle, mais ça n'est pas forcément là que l'on attend le plus Black Mirror. 14- The Waldo moment. Saison 2, épisode 3 Waldo est un hologramme qui tacle tout le monde dans un show à succès. De fil en aiguille, il devient populaire, bien plus populaire que les hommes politiques, même. Le discours est assez habile, sa fé réflaichire. 13- Nosedive. Saison 3, épisode 1 L'épisode idéal pour débuter dans la série. C'est une sorte d'épisode type, avec ses forces (un futur qui paraît vachement réaliste et fait d'autant plus flipper) et ses faiblesses (quelques facilités scénaristiques de temps en temps).

Puisque la série de Charlie Brooker a ceci de spécial qu'elle peut se picorer, comprenez que l'on n'est pas obligé de tout regarder pour tout comprendre, attelons-nous au difficile exercice du classement de ses épisodes, en partant du moins intéressant pour finir par le plus réussi. 20- Crocodile. Saison 4, épisode 3 Aucun intérêt, épisode complètement mystérieux, voire un tantinet limite, dans son propos, bien en deçà de tous les autres de la série. 19- Tuer sans état d'âme. Saison 3, épisode 5 Dans un monde post-conflit armé, une unité militaire d'élite est chargée de tuer les humains dégénérés qui se cachent. Un épisode assez mal fichu, bien trop lent et prévisible. 18- Archangel. Saison 4, épisode 2 Un autre épisode qui détone. Vraiment gnangnan, il se contente de dérouler la belle idée de départ (on tracerait les gamins pour ne plus les paumer). 17- USS Callister. Saison 4, épisode 1 Un épisode qui ne cesse de bomber le torse pour montrer combien l'idée est brillante. C'est de temps en temps la limite de Black Mirror, un petit trop plein de confiance.