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Ruelle De L'enfer

Fri, 05 Jul 2024 08:27:30 +0000

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Cependant le n o 5, où débouche la ruelle des Ramoneurs, date du XVIII e siècle [ 1]. Cette maison d'angle était celle de l'éclusier du Pont-aux-Chats [ 5], avant d'abriter l'enseigne Jean dit Carolis, autrefois une winstub réputée, décrite notamment par René Bazin en 1901 [ 6]. Maisons à colombages. Vers la rue Munch. Vers la rue de Zurich. À l'angle de la rue de Zurich. Notes et références [ modifier | modifier le code] ↑ a b et c Maurice Moszberger (dir. ), « Ramoneurs (ruelle des) », in Dictionnaire historique des rues de Strasbourg, Le Verger, Barr, 2012 (nouvelle éd. révisée), p. 171 ( ISBN 9782845741393) ↑ Moszberger, Dictionnaire historique des rues de Strasbourg, op. cit., p. 159 et 161 ↑ « L'alsacien a droit de rue à Strasbourg », Libération, 31 mars 1995, [ lire en ligne] ↑ Marie-Noële Denis, Strasbourg, Bonneton, 1993, p. 126 ( ISBN 9782862531533) ↑ René Bazin, « Les Oberlé », Revue des Deux-Mondes, juin 1901, p. 743 [ lire en ligne] Voir aussi [ modifier | modifier le code] Bibliographie [ modifier | modifier le code] Maurice Moszberger (dir.

Publié le lundi 21 Mars 2022 à 15h10 Une ruelle est devenue le pire cauchemar d'un couple en Angleterre. Le ras-le-bol est total pour Hughie O'Neill, 72 ans, et son épouse Chris, 59 ans. Ces deux Britanniques ont déménagé il y a deux ans à Brighton pour avoir une plus grande maison. Mais ce qui devait être un rêve de quiétude s'est transformé en véritable cauchemar. La faute à une ruelle à côté de leur nouvelle habitation qui attire de nombreuses personnes. Et pas les plus éduquées. Des gens profitent de cette petite allée, à l'abri des regards, pour déféquer, faire pipi, s'injecter des drogues, réaliser des graffitis et même pour avoir des relations sexuelles. Le couple a tout tenté pour éloigner les indésirables: lumières clignotantes, panneaux d'avertissement ou encore caméra de surveillance. Rien n'y fait, leur vie est toujours « un cauchemar absolu », comme Hughie et Chris l'expliquent au Sun. « Les prostituées amènent leurs clients ici et font l'amour debout contre le mur. Les toxicomanes, eux, viennent ici pour se shooter et dealer.