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Le Pont Du Diable (Ceret) Chiffre D'Affaires, Rsultat, Bilans Sur Societe.Com - 301234928

Mon, 08 Jul 2024 08:54:27 +0000

Il est ensuite détrôné par le pont Scaliger en Italie.

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En arrivant à Céret venant de perpignan, en passant sur le pont routier qui enjambe le Tech, on voit sur notre gauche un vénérable pont d'une extravagance inouïe datant du 14 ème siècle. C'EST LE PONT DU DIABLE! Le célèbre Pont du Diable a été construit entre 1321 et 1341, à l'époque il est le plus grand pont du monde à une seule arche. Il avait une importance stratégique du fait qu'il était l'unique moyen d'accès de la ville au moyen âge Classé monument historique, ce pont mesure 45 mêtres de haut pour 4 mêtres de largeur Il ne possède qu'une seule arche ouverte de 45 mètres située à 30 mètres au dessus du niveau du Tech. En mars 1793, la France déclare la guerre à l'Espagne. Au printemp l'armé espagnole qui a connu de nombreux succès face à l'armée révolutionnaire française est obligée de battre en retraite face au général Dagobert lors de la bataille de Peyrestortes. Pour lui couper la retraite le général français veut faire sauter le pont de céret. il faudra l'intervention du député de la convention, Joseph Cassanyes, ancien maire de Canet, pour empêcher ce projet.

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Il construit le pont en une nuit, mais exige quelque chose en échange: l'âme de la première créature vivante qui s'aventurerait sur le pont. Les habitants laissent faire le Diable, mais se concertent. Au petit matin, alors que le Malin finit de poser les dernières pierres, les gens lâchent un chat à l'entrée du pont... qui s'en va dessus, tranquillement. Furieux de s'être fait rouler comme un bleu, le Diable s'évanouit sous forme de fumée en laissant le pont inachevé. Une seule pierre manque! Les habitants décident de la fixer eux-mêmes, mais rien à faire. La pierre ne veut pas tenir. Tant pis! Le pont résistera quand même... Effectivement, 7 siècles après, il est encore là. Et parait-il qu'on voit encore la pierre manquante!

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Le travail avait été entrepris aux frais de Céret, mais diverses communes du Haut-Vallespir contribuèrent pécuniairement à sa construction. Au XIV e siècle, les deux rives du Tech étaient reliées par un pont de bois régulièrement emporté par les crues. Une idée logique vint: faire un pont en maçonnerie, mais à quel endroit? La plupart des ingénieurs déclarèrent le projet irréalisable. Toutefois, selon la légende, l'un d'eux, alléché par la somme offerte, prit l'engagement de mener à bien le projet en un an. Les travaux commencèrent au Grau d'Exala. Mais les eaux emportèrent les échafaudages! Pourtant, six mois après, le pont enjambait le Tech. Tout à coup, tout craqua et s'écroula. La colère de l'ingénieur fut à son comble et celui-ci eut à refaire le pont en six mois, sans crédit nouveau, sous peine de mort. Le jour fatal, approchait. Tout allait bien, mais le tonnerre gronda (un orage arrivait); le fleuve gorgea les berges, emporta tout et notre ingénieur désespéré fuit dans la montagne.

Le marbre descendait vers la plaine par cette route, mais un chemin menait aussi vers l'Espagne pour les livraisons aux commanditaires espagnols. Le linteau de Saint-Génis-des-Fontaines est en marbre blanc de Céret. Le texte que porte ce linteau permet de le dater précisément: « Anno videsimo quarto rennate rotberto rege wilielmus gratia aba ista opera fieri iussit in onore sancti genesii cenobii que vocant fontanes », qui signifie: « La vingt-quatrième année du règne du roi Robert, l'abbé Guillaume, par la Grâce de Dieu, ordonna de faire cette œuvre en l'honneur de saint Génis, au monastère que l'on appelle "des Fontaines" ». Robert II le Pieux, fils d'Hugues Capet, régna de 996 à 1031; il s'agit donc de l'année 1020 (à un ou deux ans près). Cette sculpture n'était pas destinée à être un linteau, elle servait de support d'autel; c'est au XII e siècle que l'œuvre fut placée au-dessus de la porte de l'église. Sculptures en marbre blanc, lions et Omeyyades Beaucoup de sculptures en marbre de Céret représentent des lions ailés et affrontés; à ce propos, on peut écouter Jean Raynal, qui voit leur origine dans les motifs omeyyades de Cordoue, du VIII e au XIX e siècle.

Nous sommes au XIVe siècle. A cette époque les deux rives du Tech étaient joints par un pont de bois régulièrement emporté par les crues de ce fleuve côtier si imprévisible. Il vint un jour aux cérétans une idée fort naturelle: faire un pont solide en maçonnerie; mais les rives du Tech étaient fort escarpées, à quelle endroit le construirait-on? On manda les ingénieurs du pays qui, après une sérieuse inspection des lieux, déclarèrent le projet irréalisable. L'un d'eux pourtant, après bien des hésitations, alléché par la grosse somme offerte, se chargea de l'entreprise et prit l'engagement de l'amener à bonne fin dans un an. Notre ingénieur dressa les plans, tandis que les habitants se mirent en mesure de réunir l'argent promis. Les travaux commencèrent et furent poussés rondement. Bientôt les deux culées se dressèrent au Grau d'Exala. Les charpentiers établissaient l'échafaudage de la voûte. Malheur! Un gros orage survint qui fit déborder le fleuve de ses rives; les eaux emportèrent culées et échafaudages!