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Commander Virapic En Ligne

Wed, 03 Jul 2024 00:59:31 +0000

"En quelques heures, nos stocks de Virapic ont été dévalisés", a raconté Christian de Montaguère, propriétaire de la boutique, dans les colonnes du Parisien. Pourtant, rien ne permet pour l'instant d'attester des effets de l'herbe à pic contre le Covid-19. Selon Le Parisien, un brevet a été déposé le 10 février dernier par le laboratoire antillais Phytobokaz qui fabrique le Virapic, mais aucune étude n'a encore été menée. Questionnée au sujet du Virapic à l'Assemblée Nationale, la ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, Frédérique Vidal, avait déclaré qu'il était "encore trop tôt pour en dresser le bilan". Covid-19 : le Virapic, un sirop antillais, remède miracle contre le virus ? - ladepeche.fr. Lundi, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) s'est déjà prononcée contre la commercialisation d'un autre produit présenté comme "anti-Covid": le spray nasal de la société Pharma & Beauty. L'ANSM estime qu'elle manque d'informations concernant l'efficacité du produit. Dans les Caraïbes, l'herbe à pic est utilisée depuis des siècles pour traiter différentes maladies de la peau ou encore le diabète.

Covid-19 : Le Virapic, Un Sirop Antillais, Remède Miracle Contre Le Virus ? - Ladepeche.Fr

l'essentiel En Guadeloupe, le Dr Henri Joseph a présenté l'herbe à pic, une plante qui pousse dans les Caraïbes, comme un remède miracle contre le Covid-19. Depuis cette annonce, le Virapic, sirop à base de cette herbe fabriquée par un laboratoire guadeloupéen, s'arrache comme des petits pains. Alors, solution miracle ou énième remède bidon? Décryptage. C'est un nouveau remède présenté comme miraculeux contre le Covid-19. Après le spray nasal à l'eau ionisée, c'est un sirop qui est sollicité comme solution barrière au virus. Aux Antilles, le sirop Virapic fait fureur. Il est produit à partir de l'herbe à pic. Une plante qui pousse exclusivement dans les Caraïbes et à laquelle de nombreuses vertus médicinales sont attribuées. Le 11 février dernier, le Dr Henri Joseph annonçait qu'un extrait de cette herbe pouvait empêcher le virus de se multiplier dans l'organisme. Depuis, la demande a explosé. Une seule boutique en commercialise sur Paris et elle est en rupture de stock depuis plusieurs jours.

Un mois en deux heures Toutefois, vers 15 heures, les choses se sont emballées. « Je n'avais pas fait attention à mon téléphone, qui par ailleurs était plein de messages et d'appels, mais nous avons clairement senti la différence. Entre 15h et 20h nous avons écoulé une quinzaine de flacons, alors que nous avons une consommation mensuelle moyenne de 30 flacons. » Responsable de la pharmacie Éboué - Petit-Bourg Or, ce matin à 11 heures, cinquante flacons sont déjà partis. Même constat du côté de la pharmacienne Ingrid Lefort au Lamentin et de François Foucan aux Abymes. Les deux professionnels ont été en rupture de stock dès la fermeture de leur officine et ont dû repasser commande. « Les gens nous demandent d'en mettre de côté par 10 flacons, quand ils en trouvent ils prennent par cinq. L'augmentation des ventes est claire pour nous. » Une situation qui rappelle un peu le mois de mars 2020. En effet, dès l'annonce du confinement certains professionnels avaient vu leurs ventes augmenter jusqu'à 150 flacons par mois.