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Le Mois D'Octobre, Poème De | Poésies 123

Mon, 08 Jul 2024 15:03:16 +0000

Connexion Menu principal Les Nouvelles Les Poésies Les Listes Recherche Poésie libre M-arjolaine: Mes mois d'octobre Publié le 03/11/21 - 10 commentaires - 484 caractères - 226 lectures Autres textes du même auteur Enseignements d'Hécate. Mes mois d'octobre Laisser mourir, mais quoi? Mon mariage? Ma maison? Mon travail? Mes parents? Comment rompre les cordes qui me retiennent au port? Je voudrais me laisser secouer par les tempêtes et rentrer tout entière décapée par le sable l'eau et le sel saoulée de vent jusqu'à ne plus sentir les poisons frémissants Savoir et pouvoir dire: voilà. Voici ce qui m'anime et ce qui vibre en moi. Voici ce que je suis. EtienneNorvins 22/10/2021 a aimé ce texte Un peu Hécate, divinité des carrefours (nouvelle Lune) et des Enfers (Lune noire)... Le quatrain initial est sur la lancée de l'exergue et le mystère des mois d'Octobre (pourquoi eux? Poésie mois d octobre images. ), et tient en haleine. La suite est moins réussie, me semble-t-il, plus 'convenue' paradoxalement, et surtout inachevée: qu'est-ce qui anime et vibre??

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le poème de la Loire Les fleuves, n'allant que de leurs existences, n'invitent personne A les regarder mais, des dizaines de fois, j'ai vu couler la Loire, Suspendu à ses rives qui sont des lèvres béantes de silence. Les Soleils d’Octobre, poème d'Auguste Lacaussade - poetica.fr. Les fleuves sont femmes qui mettent bas des paysages reposés Et muets, parler du monde étant souvent d'un bavardage Inacceptable comme on en parade. Les fleuves nous nient et, En même temps, nous naissent en nous attirant dans leurs lits Qui est la vie même. Comme on longe le fleuve, la voix humaine Perd en puissance. La Loire nous ramène à ce qui la nourrit, le Silence de toutes les choses, l'irréversibilité du vent avec le clair Passage des eaux.

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Aux jours où les feuilles jaunissent, Aux jours où les soleils finissent, Hélas! nous voici revenus; Le temps n'est plus, ma-bien-aimée, Où sur la pelouse embaumée Tu posais tes pieds blancs et nus. L'herbe que la pluie a mouillée Se traîne frileuse et souillée; On n'entend plus de joyeux bruits Sortir des gazons et des mousses; Les châtaigniers aux branches rousses Laissent au vent tomber leurs fruits. Sur les coteaux aux pentes chauves, De longs groupes d'arbustes fauves Dressent leurs rameaux amaigris; Dans la forêt qui se dépouille, Les bois ont des teintes de rouille; L'astre est voilé, le ciel est gris. Cependant, sous les vitres closes, Triste de la chute des roses, Il n'est pas temps de s'enfermer; Toute fleur n'est pas morte encore; Un beau jour, une belle aurore Au ciel, demain, peut s'allumer. La terre, ô ma frileuse amie! Ne s'est point encore endormie Du morne sommeil de l'hiver… Vois! Les mois – Octobre de François COPPÉE dans 'Les Récits et les Élégies' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. la lumière est revenue: Le soleil, entr'ouvrant la nue, Attiédit les moiteurs de l'air.

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Je pense que ces élans, cette crise de l'âme (automnale? ) ne peuvent que toucher quiconque a éprouvé, à un moment ou un autre, cette envie de se purifier, ce désir d'autre chose par peur de s'être perdu. une jolie lecture Vero 3/11/2021 Bien Bonjour M-arjolaine, Étrangement, j'aime bien cette poésie libre sans trop savoir pourquoi. Peut-être me parle c'est ça, elle me parle. Perso, je n'aurais pas laissé le dernier vers: "Voici ce que je suis. " qui casse un peu l'ambiance. M-arjolaine : Mes mois d'octobre (Poésie libre) - Oniris. Mais ce n'est qu'un ressenti personnel et peut -être y a t-il une raison particulière qui m'échappe? Corto Beaucoup ↑ Pourquoi parle-t-on autant de l'automne? Cette saison (que j'aime beaucoup) semble être le vecteur d'une interrogation intime, un retour vers l'essentiel, lorsque le soleil revient à la raison, lui qui a été parfois excessif avec pour complices " le sable l'eau et le sel. " L'automne, moment privilégié pour regarder l'immédiat et le futur, pressant quand même pour ne pas se laisser rattraper par l'hiver.

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le poème des corbeaux L'automne souvent, de leurs voitures chauffées Roulant sur les coteaux, les automobilistes regardent, Aux champs, les corbeaux s'arrêter et s'envoler. Ce sont leurs destins qui croassent, s'abandonnant En robes noires, et qui, d'un silence puissant, les Font écumer de toutes les pensées. Elles ont du Sang aux lèvres parce qu'elles sont colorées, et Toute joie de vivre en est accompagnée, et aussi Toutes les peines, mais personne ne voudrait avoir Vécu sans avoir vu au moins une fois dans sa vie Les oiseaux moqueurs qui sont leurs frères et Leurs morts festives. Poésie mois d octobre rose. Extrait de: Mots d'octobre, poésies de défiance le poème du saule pleureur devant la maison Est-on trompé par le temps dont on serait au fil des ans Un amant las qui n'est plus voyant d'un monde éternel Puisque ce sont de mêmes pensées qui arrivent par la Fenêtre des moments singuliers dont on se rappelle? Mais il y a un saule pleureur devant la maison, arbre Qui est de cet automne et de plusieurs saisons passées Qui se sont enfuies sans être jamais parties.

Que deviennent Octobre et Hécate? Voilà qui serait intéressant, émouvant sans doute... et ouvre bien des possibles littéraires. Myo 28/10/2021 Bien ↑ Déjà le titre interpelle... "Mes mois" Dans le sens de plusieurs mois ( mais pourquoi? Poésie mois d octobre 2010. ) ou dans celui de plusieurs moi ( je). Ce que je conçois mieux, comme s''il fallait au narrateur découvrir son "moi". Un questionnement intime à la croisée des chemins. Un besoin de changement, de renouveau évident. Ce besoin est très joliment exprimé même si la façon d'y parvenir reste floue. En EL Myo Savoir et pouvoir dire: voici ce que je suis ( j'aurais écrit voici qui je suis) myndie 29/10/2021 Beaucoup Bonjour, A première vue, je n'avais pas trouvé de relation instantanée avec le texte- c'est mieux ainsi car souvent, le regard immédiat fait la tiédeur du ressent- mais j'ai tout de suite aimé le titre. J'ai beaucoup apprécié votre poème, un cri lancé avec d'autant plus d'intensité qu'il vient du plus profond du coeur. Vos vers ont leur vibrato propre qui frappe les sens: émotion brute, pourtant sans lyrisme, désir fort, pourtant dépassionné.

Mon cœur, foyer toujours le même, Foyer vivant, foyer qui t'aime, Que ton regard fait resplendir! Que les saisons, que les années, Que l'âpre vent des destinées Ne pourront jamais refroidir! Et quand, noyés de brume et d'ombre, Nous descendrons le coteau sombre, Rayon d'amour, rayon d'espoir, Un sourire, ô ma bien-aimée! Jouera sur ta lèvre embaumée Avec les derniers feux du soir. Auguste Lacaussade, Poèmes et Paysages