La parole aux étudiants - Anna Vercherand, Présidente du BDE ESTRI On Stage - YouTube
mardi 19/03/2019 à 13h09 Économie Aix-en-Provence Les échanges ont notamment porté sur les institutions et la transition écologique Ils ont clôturé cette tournée du grand débat. Jeudi dernier, les étudiants ont organisé à la faculté de droit leur propre grand débat national, à l'initiative de l'Association de la Licence d'administration publique d'Aix-Marseille. La parole aux étudiants! | le français est une chance | Page 4. Le débat, ouvert à tous les étudiants, et pas seulement ceux de droit, a rassemblé ces jeunes, dont la voix s'était peu élevée ces derniers mois. Là, dans le décor solennel du vieil amphithéâtre Mirabeau, la parole s'est déliée et les idées ont fusé. Les étudiants présents ne se désintéressent pas de la politique, loin de là: d'ailleurs, ils sont assez nombreux à avoir déjà effectué un stage auprès d'un député, voire ont déjà exercé en tant que collaborateur parlementaire. Les personnalités politiques présentes ce jour-là pour animer le grand débat ne déparent pas: Jean Boulhol-Milon, conseiller municipal à Aix-en-Provence et David Ytier, adjoint au maire de Salon-de-Provence, n'ont que quelques années d'écart avec le public qui leur fait face.
Par contre, ce qui est sûr, c'est que cela ne nous empêche pas de sortir et faire la fête! ». * Centre Régional des oeuvres Universitaires et Scolaires. Les Crous ont pour mission d'améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants. en complément Un manque d'offres adaptées? Si les quatre futurs infirmiers que l'on a rencontrés se plaisent à Pontivy (voir ci-dessus), ils se sont également aperçus d'un certain manque d'offres spécifiques les concernant. « Depuis que je suis ici, je n'ai vu que le cinéma faire un prix pour les étudiants (6, 50 EUR au lieu de 8 EUR) », précise Lucie. « À Rennes, une entrée pour la piscine coûte 2, 50 EUR pour les étudiants, affirme Paul. La parole aux étudiant·e·s | HEPIA. Ici, c'est deux fois plus cher, il n'y a pas de prix réduits pour nous ». Pour les filles aussi, le constat est le même, elles qui ont pour habitude de faire du fitness, de la musculation ou du volley. « Si on veut faire du sport, on est obligés de passer par les clubs qui existent en ville. Ce n'est pas possible de faire du sport universitaire ici.