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Philippe Jeannin Dominicain

Mon, 08 Jul 2024 08:26:50 +0000
Couvent Saint Jacques à Paris 4ème semaine de l'avent Le frère Philippe Jeannin fut le directeur général du pèlerinage du rosaire à Lourdes et le producteur sur France 2 du Jour du Seigneur. Il est chapelain au Mont Sainte-Odile en Alsace. Laisse Dieu être Dieu en toi | frère Philippe Verdin Quelle magnifique retraite de l'avent! SOUTENEZ la 13eme rencontre Vie et Souffle dans le monde. Nous avons préparé nos cœurs pour contempler le Fils de... Lire la suite Dans vos bras | frère Philippe Jeannin Avec Joseph, l'âne et des provisions de route, nous sommes partis de Nazareth nous faire recenser... Your browser does not support the audio element. -0:00
  1. Guido Vergauwen réélu provincial des dominicains de Suisse – Portail catholique suisse
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Guido Vergauwen Réélu Provincial Des Dominicains De Suisse – Portail Catholique Suisse

« Ce n'était pas un homme facile. Il avait été profondément marqué par l'Indochine et le Maroc. C'était une personnalité blessée. J'avais une relation conflictuelle avec lui. Mais un jour, un an avant sa mort en 1995, je l'ai vu pleurer dans sa chambre après une discussion sur la mort, sa mort. Je me suis assis près de lui, et pendant quelques secondes, je peux dire que je l'ai rencontré. Un moment de communion intense, unique, qui me permet aujourd'hui de penser que je ne suis pas passé à côté de mon père. » Une relation amoureuse le détourne de sa vocation Sa vocation religieuse ne s'est pas réalisée sans heurts. Élevé en grande partie par sa grand-mère paternelle, Philippe Jeannin se rendait volontiers tous les dimanches à la messe. M. Philippe JEANNIN - Frère dominicain (membre de l'ordre des Frères Prêcheurs) - Biographie mise à jour le 15 décembre 2021 - LesBiographies.com. Un prêtre le marque particulièrement, le curé d'Ornans. « Après mon bac, je suis entré au séminaire de Dijon en pensant à lui. Ma vocation doit aussi beaucoup aux retraites que je faisais à l'abbaye d'Acey: la vie cistercienne m'attirait, les fraternités monastiques de Jérusalem aussi, qui venaient alors régulièrement en retraite à Acey.

Philippe Jeannin

» Un peu difficile à comprendre qu'un évènement soit déjà-là et en même temps pas encore accompli. « Je te donne 100 CHF. – Eh bien donne! Guido Vergauwen réélu provincial des dominicains de Suisse – Portail catholique suisse. – Non pas maintenant, quand tu auras fait le travail – Tu promets que tu les donneras! – Oui! » Pour ce genre de situation, nous employons deux temps: le présent et le futur… Ou bien c'est maintenant (présent), ou bien c'est demain (futur)… habitués que nous sommes à vivre dans le passé, le présent et le futur. Mais on peut comprendre cette perspective du déjà-là et du pas encore à partir de l'exemple de la bataille et de l'armistice de Cullmann, ou de nos expériences: « Quand je plante mes radis ou mes semences: je me dis que les radis sont déjà-là (en promesse) mais pas encore prêts à manger. Mon petit-fils est déjà un grand et bon garçon, mais pas encore accompli… Dans le domaine spirituel, nous comprenons aussi souvent à partir du présent et du futur… à tort, je pense. Toute une spiritualité a longtemps opposé la rude condition du croyant ici-bas (présent) dans l'attente d'un monde meilleur (futur) à condition de faire ce qu'il fallait pour « gagner son ciel!

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» (Sermon 95 du 17/09/1864). Dieu nous attend, comme le père de l'enfant prodigue, non pas pour nous reprocher notre inconduite mais pour nous serrer dans ses bras. La seconde conséquence est libératrice. Lorsque j'étais en Égypte, je faisais le catéchisme aux chrétiens des écoles des sœurs: coptes catholiques, orthodoxes ou protestants. Dans ce pays marqué par l'islam, la question récurrente des enfants était: Da, abouna, Haram woua Hallal? (Père, et ça, c'est permis ou interdit? ). Je m'employais à les sortir de la dialectique du permis et de l'interdit, plus facile pour se situer mais posture d'esclave, alors que, comme le rappelle Paul aux Galates: « c'est pour que nous soyons libres, que Dieu nous a libérés » (Gal 5, 1). Entrer dans la liberté des enfants de Dieu, puisque nous sommes Enfants de Dieu. Cette libération, cette liberté dit la confiance de Dieu: la foi de Dieu en l'homme, plus fidèle que la foi de l'homme en Dieu: Dieu fait confiance à ses enfants, même dans leurs bêtises, leurs erreurs.

Il a été expert au FNS dans la section « Sciences infirmières ». Il a une expérience de plusieurs années en Afrique noire francophone au titre de la coopération et un doctorat en sciences sociales publiée (Santé et culture en Afrique noire) ainsi qu'un DESS en santé publique et diplômé en médecine tropicale. Commission bioéthique et Onu Il est actuellement membre de la commission de bioéthique de la Conférence des évêques de Suisse, conseiller provincial, promoteur de la famille dominicaine, membre du conseil exécutif de la Délégation de l'Ordre auprès de l'ONU, membre théologien du Bureau Santé du Vicariat épiscopal à Genève et aumônier d'EMS. Venu en Suisse en 1981 pour travailler au CHUV (Lausanne) comme soignant puis enseignant, directeur- adjoint de l'Ecole de soins infirmiers du CHUV, il a ensuite été appelé à fonder le Centre de recherche en soins de la Haute Ecole de santé La Source. Couvent des dominicains à Genève Ordonné prêtre début octobre 2003 et il a aussitôt été assigné au couvent de Genève.

Ce mercredi matin, malgré le retour d'un beau soleil pour la journée, la messe aux intentions des malades absents – sous le signe des mystères douloureux – avait lieu à la basilique souterraine. Le directeur de l'Hospitalité du Rosaire, le frère Lionel Gentric, regrettant l'absence des pèlerins malades, handicapés, a commencé par nous inviter à nommer silencieusement, dans notre cœur, les quelques 6-7 pèlerins malades auxquels nous pensions pour peupler la basilique et notre pèlerinage avec les quelques 20 000 pèlerins du Rosaire habituels. Vingt voiturettes bleues, vides, poussées par des brancardiers et hospitalières, au pied de l'autel, allaient symboliser durant toute la messe, ces pèlerins malades et handicapés qui n'ont pas pu venir mais pour qui nous avons prié et que nous avons ainsi rejoints dans la communion. Le prédicateur a rappelé avec force son expérience auprès des malades mais aussi sa découverte que ceux qui les accompagnent souvent souvent eux-mêmes, autrement, d'un deuil récent, d'en cancer, d'un héritage lourd et désastreux… porteurs d'une autre « croix invisible, cachée, parfois inavouable: ils portaient leur croix et ils trouvaient les forces pour la porter en servant les autres.