Cette trame inquiétante a séduit Télé Star: "on retrouve avec plaisir les personnages et une intrigue aussi addictive qu'inquiétante. " Même son de cloche du côté de TV Grandes Chaînes: "un début de saison dont l'intrigue emporte l'adhésion. " Télé Cable Sat écrit de son côté: " ce nouveau chapitre est encore plus ambitieux et dérangeant que la précédente saison. Dès les premiers épisodes, on est littéralement happés par ce monde aussi fascinant qu'effroyable où le cynisme fusionne avec un humour noir décapant. " Télé Z affirme pour sa part: "comme en son temps La planète des singes, mais avec plus d'acuité encore, Real Humans invite les hommes que nous sommes à réviser nos projets de société. " La deuxième saison de Real Humans est à suivre ce jeudi à partir de 20h50 sur Arte. Les avis des magazines télé: Télé Z: ExcellentTélé 7 Jours: Très bienTélé Cable Sat: BienTélé Poche: A ne pas manquerTV Grandes Chaînes: Très bonTélé Loisirs: Très bonTélé Star: Très bon
Dans ce même épisode 3, décidément merveilleux, un grandpère mort la saisonprécédente revient dans sa version clonée. C'est l'occasion d'une scène formidable, aux confins du burlesque, où toute la famille réunie autour de lui tente de se persuader qu'il est bien ressuscité. Real Humans ose tout, c'est même à ça qu'on la reconnaît. Rappelons le pitch. Dans la Suède d'aujourd'hui, les robots domestiques (mais pas seulement: ils servent parfois d'esclave sexuel ou d'auxiliaire de vie, entre autres) sont entrés dans le quotidien des familles et des entreprises. Un autre monde? Le nôtre, surtout, mais légèrement décalé. La série brasse des sujets comme l'exclusion, la norme et la marge, les minorités, la dépendance à la technologie, la douleur au travail, la bioéthique, la surveillance généralisée, etc., à travers le prisme toujours étonnant des « hubots », ces créatures insupportablement souriantes – et pourtant émouvantes – qui pourraient très vite diverger du programmepour lequel elles ont été conçues et réclamer leur liberté.
Chaque épisode est tourné avec un budget de 700 000 dollars. Casting Avec Andreas Wilson, Lisette Pagler, Pia Halvorsen, Joséphine Alhanko et Marie Robertson.