On mesure très souvent des valeurs inférieures à 10 mm/h dans les champs à la structure dégradée de la Montérégie et d'autres régions de grandes cultures. A B C Que ce soit en utilisant des cylindres de PVC (A), l'infiltromètre de Côté (B) ou l'infiltromètre de Guelph (C), le constat est le même: l'eau de surface ne s'infiltre que très lentement dans le sol. (Photos: Bruno Garon. ) Facteurs limitant l'infiltration Outre l'effet inévitablement négatif de la mise en culture initiale, on a constaté, au cours des dernières années, de plus en plus d'eau persistante en surface, résultat que l'on semble attribuer uniquement aux précipitations intenses. Perméamètre de Guelph à charge constante - Appareils de mesure sur le terrain | Eijkelkamp. Le travail de sol annuel (effectué encore ici avec de l'équipement de plus en plus lourd), le drainage (et le surdrainage) systématique et le nivellement sont au nombre des techniques que l'on devrait remettre en question. Bien souvent, pour corriger un problème d'eau de surface, ces interventions détournent une eau potentiellement très utile vers les plans et cours d'eau de surface, ce qui accentue les risques d'inondation et a pour effet que l'eau entraîne avec elle plusieurs sédiments et contaminants (éléments nutritifs, pesticides, etc. ) qui auraient pu être filtrés plus efficacement par la matrice du sol.
Résumé chapitre 7: La mesure hydrologique Hydrologie Générale Prof. André Musy Section SIE et GC 4ème semestre 2005 La mesure hydrologique Introduction Les objectifs de ce chapitre sont de connaître les principes métrologiques des principaux éléments constitutifs du bilan hydrique, de savoir apprécier le résultat des mesures en liaison avec leur précision (relative ou absolue) et d'évaluer les moyens d'organisation des données compte tenu de leur diversité. La mesure des précipitations mesure des précipitations est simple à réaliser localement, mais une des plus complexes en météorologie du fait de la très forte hétérogénéité spatiale des précipitations. On exprime généralement les précipitations en hauteur ou lame d'eau précipitée par unité de surface horizontale (mm) ou en intensité (mm/h). Infiltrometer de guelph 4. mesure des précipitations peut être entachée d' erreurs instrumentales ou d'observation, mais aussi d' erreurs de représentativité spatiale ou d'échantillonnage. principaux instruments de mesures sont les suivants: Mesure des précipitations Pluviomètre: - Instrument de base quantifiant la pluie globale précipitée dans l'intervalle de temps séparant deux relevées (en Suisse, toutes les 24 h).
Prélèvements manuels Les préleveurs instantanés Les préleveurs à pompe Les préleveurs par intégration en continue des matières en suspension: Préleveur d'échantillon automatique en continue de la turbidité: Turbidimètre mesure de l'infiltration méthodes les plus connues pour mesurer directement et ponctuellement l'infiltration sont: Infiltromètres Infiltromètre de Müntz: méthode fondée sur le principe de l'infiltration à charge constante à double cylindre: charge variable. de Guelph: méthode permettant la détermination de la conductivité hydraulique et la sorptivité. Infiltrometer de guelph -. à aspersion: méthode utilisant le principe du simulateur de pluie. mesure de l'humidité du sol L'humidité du sol peut être déterminée de plusieurs façons soit par méthode directe (mesures gravimétriques), soit par des méthodes indirectes. Parmi ces dernières citons: Méthodes de mesures indirectes de l'humidité du sol Sonde à neutrons: méthode reposant sur les propriétés de réflexion que possèdent les molécules d'eau à l'égard d'un flux de neutrons.
INFILTROMÈTRE MODÈLE SDEC Cet appareil mesure la conductivité hydraulique à saturation (coefficient K) d'un sol, ou perméabilité, celle-ci définissant l'aptitude du sol à permettre l'infiltration d'eau. L'infiltromètre SDEC est particulièrementadapté à la réalisation des tests de percolation destinés à ce type d'étude, par la méthode dite à niveau constant (méthode Porchet). PRINCIPE On réalise des trous de faible profondeur que l'on remplit d'eau claire, afin d'y mesurer la vitesse à laquelle le terrain absorbe l'eau. MAPAQ - Le problème d'infiltration. On laisse préalablement percoler par le trou un volume suffisant d'eau pourcréer un bulbe saturé dans le sol entourant celui-ci. On mesure alors le volume d'eau nécessaire à maintenir constant le niveau d'eau dansle trou pendant la durée du test. On calcule ainsi le coefficient K du solétudié, qui selon la circulaire du 22. 05. 1997, détermine le volume d'eau usée admissible par mètre carré pour l'épandage souterrain.