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Homélie - 33Ème Dimanche To - Année A - 15 Novembre 2020 - Christian Carol

Mon, 08 Jul 2024 12:18:48 +0000
Le Seigneur vient; il est là au cœur de nos vies. Il nous demande d'être attentifs aux signes de sa présence et de lui donner la première place dans nos vies. L'Evangile nous raconte la parabole des talents. Cette parabole, nous la connaissons bien. Mais il y a une chose que nous oublions souvent: Il ne s'agit pas d'un talent au sens de compétence ou de capacité; ce talent dont il est question, c'est une unité de monnaie qui pèse trente kg. Pour une personne qui travaille douze heures par jour, c'est le salaire de six mille jours de travail. La somme remise à chacun est donc énorme. En nous racontant cette parabole, le Christ veut nous transmettre un message de la plus haute importance. Homélie du 33ème dimanche ordinaire annexe à l'article. Ce Maître qui confie tous ses biens à ses serviteurs, c'est lui. Il est venu jeter les bases de ce monde nouveau qu'il appelle le Royaume de Dieu. Ce trésor vaut infiniment plus que tout l'or du monde. Et pourtant, il est confié aux serviteurs, aux disciples, à nous aujourd'hui. Rappelons-nous l'envoi en mission le jour de l'Ascension: "Allez dans le monde entier: Proclamez l'Evangile à toute la création.

Homélie Du 33Ème Dimanche Ordinaire Annexe À L'article

Et là où il y a une messe qui est célébrée dans le monde, ses dons s'étendent vers le monde entier. Cela fait partie de notre foi. Personne ne peut nous l'enlever. Elargissons notre regard: l'humanité est au bord de la route en attente de consolation. Plus que jamais, chacun est appelé à prendre, avec courage et dans la confiance, la part de souffrance qui nous revient. Homélie pour le 33ème dimanche ordinaire - Année B - L'abbé de Somme. Et faire cela ce n'est pas se laisser écraser, mais au contraire, c'est s'unir au Christ souffrant. Et montrer la grandeur de notre foi! De notre charité créative! Et de notre espérance consolante. C'est entrer sur le chemin qui mène, après le Calvaire, à la résurrection.

Un chrétien, par la foi qui l'habite, voit au-delà de la nature, il voit de manière surnaturelle la présence voilée de Dieu, et je dirais même, qu'un chrétien a le devoir de révéler cette présence mystérieuse et voilée de Dieu à ceux qui ne le voient pas. La troisième lecture que fait un chrétien de cette situation de fin de temps, c'est que le chrétien sait que nous sommes dans la fin des temps depuis la Résurrection de Jésus et il sait que la fin de l'homme est en Dieu. Il faut se défaire de l'idée selon laquelle la fin des temps correspond seulement à un moment précis. La fin des temps est aussi une temporalité qui dure dans le temps. Mais la fin de notre monde, la fin de l'homme est ultimement en Dieu. Abbaye d'En Calcat : Les homélies. L'homme est mortel, oui. Pourtant sa fin, au-delà de la mort, est en Dieu. Notre monde est périssable, oui. Pourtant la parole de Dieu donnée à l'homme est impérissable. Notre fin, notre éternité se construit dans notre rapport à la Parole de Dieu, dans la prière, par l'Écriture, par l'accueil du Verbe de Dieu dans nos vies qu'est Jésus.