LIVERPOOL - REAL MADRID Saint-Denis, Stade de France (21h) Des étoiles vont briller de mille feux. Toutes ne seront pas visibles dans le ciel de la région parisienne, mais également sur le terrain du Stade de France, ce samedi, pour la finale de la Ligue des champions entre Liverpool et le Real Madrid. Deux mastodontes de la galaxie footballistique. La ligue et vous sur. Un brin de chauvinisme pourrait faire regretter l'absence du Paris Saint-Germain et de sa constellation de stars. Mais il n'en est rien. Malgré l'absence de Kylian Mbappé, Saint-Denis se...
Leurs occasions de but ont plus été consécutives aux risques pris par la défense auxerroise qu'à leur génie offensif. À l'arrivée, ce manque d'efficacité de Khazri, Bouanga ou Nordin pourrait s'avérer préjudiciable. Et ce, d'autant plus qu'il se combine à une fébrilité défensive déroutante. De retour dans un schéma à quatre défenseurs, les Foréziens ont parfois manqué de repères. Souvent maladroits, les Icaunais ont mis du temps à en profiter. Mais leur dernier quart d'heure, ponctué par un enchaînement subtil de Gaëtan Perrin (86e), a montré les ressources d'une AJA très entreprenante. Alors qu'on pensait les Auxerrois dans le dur physiquement après leurs playoffs à rallonge contre Sochaux (0-0, 5-4 aux t. a. Ligue 2: «Ça récompense la constance et l'opiniâtreté de notre groupe», sourit Furlan, coach de l'AJA. b. ), ils ont finalement trouvé un second souffle inespéré pour revenir. Analyser ce retour des Auxerrois au prisme d'un trou d'air stéphanois n'est pas non plus erroné, tant Saint-Etienne a plongé en deuxième période. Le coaching de Pascal Dupraz, avec les entrées précoces de plusieurs leaders techniques comme Wahbi Khazri ou Riyad Boudebouz, n'a pas franchement amélioré la pâle copie d'une équipe au fond de jeu inégal.
Il y a des matchs à l'extérieur où on a perdu alors qu'on aurait dû se contenter du nul mais il n'y a aucun regret. » Ligue 1: «du soulagement, de la joie et de la fierté» pour Genesio S'ABONNER S'abonner