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Commentaire Jean 6 1 15

Fri, 05 Jul 2024 06:49:21 +0000
Telle un voile, une chanson de Joan Baes a recouvert toute ma nuit d'une ombre bienfaisante. Un rêve en liberté revoit les paroles et les transforme au gré de son humeur. God is god. Oui, mais là où il est écrit, « i believe in God and God ain't me », je crois en Dieu et Dieu n'est pas moi, l'ange de la nuit s'obstine à chanter: i believe in God and God in me, je crois en Dieu et Dieu en moi. Bienheureuse erreur qui me donne la clé du matin. Avec l'évangéliste Jean et avec la foule, je contemple ce que Jésus fait pour les malades, et nous le suivons sur la montagne pour l'entendre et le voir encore. Une question semble tarauder Jésus: comment nourrir une telle multitude? Notre réponse serait sans doute: A grand problème, grands moyens, divine solution. Mais Jésus se tourne d'abord vers Philippe: Où acheter du pain pour que ceux-ci mangent? Commentaire jean 6 1 15 % body fat. La question est épreuve. Le disciple est confronté à son impuissance, à l'impossible des moyens à mettre en œuvre pour obtenir un bien maigre résultat.

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Il y a des gestes qui parlent plus fort même que les paroles. « Ce que tu fais parle plus fort que ce que tu dis ». Eh bien! le passage de l'évangile de saint Jean qui vient d'être lu est un de ces gestes forts qui marque l'imagination et qu'on ne finira jamais de comprendre: la multiplication des pains. I – Des gestes qui sont des signes Un geste comme celui de la multiplication des pains n'est pas anodin. C'est pour nous 2000 ans plus tard, un signe à interpréter et à recevoir. Commentaire jean 6 1 15 commentary. À travers une description très vivante et remplies de détails: le nombre de poissons et de pains etc. il nous livre un message qui a traversé les siècles Dans l'Ancien Testament, les prophètes en ont utilisés parfois des gestes forts pour faire passer le message de Dieu. Isaïe, par exemple, qui se promène dévêtu pendant trois ans (Is 20, 1-6), une façon de dire que si Israël fait avec l'Égypte, il sera dépouillé, dépossédé de tout. Le prophète Jérémie porte un attelage de bœuf, un joug (Jr 27, 1-22), signifiant ainsi la soumission au roi Nabuchodonosor.

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Si nous lui donnons le peu que nous avons avec confiance, Jésus multipliera aussi pour nous et au centuple ce dont nous avons réellement besoin. Dieu qui aime les hommes veut les combler en abondance, mais l'homme veut-il être comblé, par Dieu et de Dieu? Les Signes et apparitions de nos jours attirent souvent de grande foule qui ont faim et soif d'extraordinaire, de merveilleux. Commentaire jean 6 1.5.0. Le désir de richesse matérielle, de bien être, l'emporte souvent sur le désir du salut de l'âme. Jésus est venu nous apporter un bien plus précieux que toutes les richesses terrestres que nous pourrions posséder, devenir membre de la famille de Dieu. Par notre adhésion, Jésus nous invite aujourd'hui à un bonheur sans commune mesure, la certitude de vivre le jour venu auprès du Père et de régner avec lui dans le royaume des cieux. Amen.

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Conclusion Cet événement de la multiplication des pains est un signe encore pour nous aujourd'hui. Cet épisode de l'évangile nous invite à croire que si, comme Jésus, nous levons les yeux vers notre Père du ciel, toutes nos faims seront comblées au-delà de nos espérances. C'est ce que nous faisons à chaque Eucharistie en union les uns avec les autres et avec Jésus lui-même qui continue dans la gloire du ciel d'intercéder pour ses disciples. Amen! Jean 6. 1-15 – Sondez les Écritures – Bibles et Publications Chrétiennes. Mgr Hermann Giguère, P. H. Séminaire de Québec 22 juillet 2015

Chacun a sa façon de poser la même question. Et l'évangéliste répond: regarde le monde avec les yeux de la foi, car la foi est une manière de voir l'invisible et de dire: je te rends grâce, Seigneur, pour ma vie en ce jour, car même si je suis âgé ou faible, je sais que par elle tu réalises des choses merveilleuses bien au-delà de ce que je peux voir". Une dernière question. Comment distinguer entre une foi immature et une autre qui ne l'est pas? La maturité est cette capacité d'évoluer sans cesse, d'être toujours en train d'apprendre. Homélie pour le 17e dimanche du temps ordinaire Année B (Jean 6, 1-15 la multiplication des pains) : « Une nourriture qui comble nos faims ». Regardez Jésus. Il a un jour des infirmes devant lui, une autre jour des affamés. Et les gens ont peine à dire qui il est, un guérisseur, un prophète, un roi? On ne peut pas l'enfermer dans une seule définition. Voilà pourquoi prétendre savoir qui est Dieu et ce qu'il veut une fois pour toutes relève de l'immaturité, car à ce moment je reste fixé sur le passé et je refuse de continuer à grandir. Croire c'est dire: "Seigneur, j'accepte ma vie telle qu'elle est aujourd'hui, sans nostalgie du passé, je donne sans attendre en retour, à toi de tracer mon chemin, car j'accepte d'évoluer jusqu'à mon dernier souffle. "

Jésus leur dit: "Faites asseoir les gens. Il y avait là de l'herbe en abondance, et jusqu'à cinq mille hommes s'assirent. Alors Jésus prit les pains, rendit grâces et les distribua à tous ceux qui étaient assis; il fit de même avec les poissons, et en donna autant qu'on en voulait. Lorsqu'ils eurent mangé suffisamment, il dit aux disciples: "Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne soit perdu. " Ils les ramassèrent et les remplirent. 17e Dimanche T.O. ; Jean 6,1-15 - Le Carmel en France. Ils les ramassèrent donc et remplirent douze paniers avec les restes du repas de cinq pains d'orge. Les gens, voyant le signe qu'il avait donné, dirent: "C'est bien là le prophète qui doit venir dans le monde". Jésus, qui voyait qu'ils allaient venir le prendre de force et le faire roi, s'enfuit seul dans les collines. Réflexion sur la photographie Dans la lecture d'aujourd'hui, nous lisons comment Jésus a nourri les cinq mille personnes. Il a nourri ces gens parce qu'ils nécessaire pour être nourris. Les paniers qui sont restés ce jour-là sur la colline ont été notre pain depuis lors.