Par le 11. 06. 2008 à 13h39, mis à jour le 11. 2008 à 13h43 Lecture 1 min. La Commission européenne a infligé au groupe français une amende de 60 millions d'euros pour entente illicite sur le chlorate de soude. (c) Sipa La Commission européenne a infligé, mercredi 11 juin, une amende de 59 millions d'euros au chimiste français Arkema, ancienne filiale de Total, pour entente illicite sur les prix. Bruxelles indique avoir relevé l'amende en raison de l'état de récidive de la compagnie française, qui a écopé de plus de 400 millions d'euros d'amendes ces dernières années. Total aussi responsable La commissaire en charge de la Concurrence, Neelie Kroes, estime que Total est aussi responsable dans cette affaire, ayant été propriétaire d'Arkema de 1994 à 2000. C'est à cette période que les ententes ont été établies sur le prix du chlorate de soude, un produit utilisé pour blanchir le papier et la pâte. Il revient aux deux entreprises de décider de la façon dont elles souhaitent partager l'addition, souligne la Commission.
Le chlorate de sodium était auparavant disponible à une concentration supérieure à 95% de NaClO 3. À cause de la fréquence des accidents dus à son utilisation en tant qu'oxydant dans des réactions explosives, ce taux fut ensuite abaissé à 60%. Mélangé à d'autres substances, le chlorate de sodium est moins réactif ce qui évite des accidents. On trouvait aussi du chlorate de sodium à 23, 7%. Utilisé en solution à 10 grammes par litre d'eau (2 cuillerées à soupe, à dos bien arrondi, pour un arrosoir de 10 litres) le chlorate de sodium constitue un désherbant efficace. Il agit grâce à l'oxygène qu'il contient, lequel détruit des structures cellulaires au niveau des racines. Cette action ayant eu lieu il ne reste dans le milieu que du chlore et du sodium, c'est-à-dire du sel de cuisine qui à la dose ci-dessus — correspondant à environ 6 grammes de chlorure de sodium pour un litre d'eau — est pratiquement sans dommages pour l'environnement.
Dans cette affaire, Chemicals Oy (Finlande) et Aragonesas (Espagne) ont été condamnés à des amendes d'environ 10 millions d'euros. Communiqués, partenariat Cision
A force de pailler, d'amender avec du compost, de remuer la terre pour récolter les légumes, de planter dedans, etc... je pense que les conditions ont changé, d'ailleurs ma terre a nettement changé d'aspect (contrairement à mon premier massif dont je parlais tout à l'heure), elle est nettement plus brune et aérée, et je suppose que ce sol ne convient plus autant au chiendent. En plus, grâce au paillage épais, il est facile de tirer dessus quand il en pousse, avant qu'il ne se propage, et les racines viennent bien au lieu de casser net. Dans les allées en gravier, je ne suis pas trop envahie, et je l'enlève dès qu'il pointe son nez. C'est plutôt le liseron qui gagne du terrain.