Le week-end de la mi-août, il y a environ 370 000 touristes en même temps sur l'île, ce qui signifie que la population dépasse la barre des 700 000 habitants! Ceux qui dépendent des vacances scolaires et qui ont la possibilité de partir en Corse dès le début du mois de juillet, devraient absolument en profiter. De nombreux campings sont encore loin d'être complets et l'on peut oser arriver sans réservation sans rencontrer de problème. Pour ceux qui souhaitent rester flexibles et renoncent à réserver à l'avance leur séjour au camping (dans certains endroits, il est parfois totalement impossible de réserver), il est fortement recommandé d'arriver sur les nouveaux lieux le matin. En effet, comme les autres vacanciers vont quitter leur emplacement, on a plus de chances de trouver une place. Malgré les nombreux touristes présents pendant les mois d'été, la Corse n'est pas caractérisée par le tourisme de masse en comparaison à d'autres îles touristiques très fréquentées de Méditerranée. Les vacanciers peuvent ainsi trouver en toute quiétude des plages paisibles et se détendre.
Corse Publié le: 10 février 2022 à 07:30 La neige est également très peu présente en montagne. Paul-Mathieu Santucci 1 / X Janvier 2022 est classé par les services de Météo France comme le cinquième mois le plus sec enregistré depuis 1950. Bastia enregistre même le record de 192 heures d'ensoleillement. Les sols sont secs et les agriculteurs inquiets pour la saison estivale Pas moins de 191 heures de soleil à Bastia durant le mois de janvier. Les chiffres ont été communiqués mardi par les services de Météo France. C'est un record qui n'avait pas été battu depuis les années 1950. Et même si les beaux jours et les températures clémentes en plein hiver plaisent à beaucoup de monde, leur impact sur la sécheresse des sols est considérable. Si le record du mois de janvier 1993 n'est pas tombé, janvier 2022 se présente quand même comme le cinquième mois le plus sec en Corse depuis 1958 puisque l'on ne compte que quatre jours de pluie, du 5 au 9, sur l'ensemble de l'île. "Avec 27 mm de précipitations en moyenne sur la région, nous constatons un déficit de plus de 67%", explique Météo France dans un rapport public.
La température maximale en journée oscille entre 17 et 20°C en Corse au mois de mai. Par ailleurs, la pluie n'est pas vraiment un problème en Corse au mois de mai. Si on regarde les données des 5 dernières années, on constate qu'il est tombé entre 1 et 4 mm de pluie par jour durant ce mois. De plus, il s'agit généralement d' averses relativement fortes et courtes. Vous avez donc peu de chances de subir un crachin désagréable pendant des jours. Dans la mer, la température moyenne de l'eau est de 18°C en Corse au mois de mai. Les moins frileux pourront donc se baigner, tandis que les autres profiteront du soleil au sec sur la plage. La météo en Corse en mai est donc idéale pour profiter de l'Île de Beauté. Les journées sont ensoleillées et chaudes. Les matinées et les soirées sont plus fraîches mais restent très agréables avec une petite veste. Côté mer, l'eau vous attend avec une température acceptable pour une baignade revigorante! Données météo au mois de mai en Corse sur les 5 dernières années (entre 2017 et 2021) Minimum Maximum Température moyenne 17°C 20°C Température maximale 19°C 22°C Température minimale 15°C 18°C Vitesse du vent 12 km/h 17 km/h Température du vent 15°C 18°C Précipitations moyennes par jour 1 mm 4 mm Record de précipitations sur une journée 31 mm 56 mm Humidité 67% 79% Couverture nuageuse 13% 33% Source: La fréquentation touristique de la Corse en mai Il y a un deuxième avantage à partir en Corse au mois de mai: la fréquentation touristique n'est pas à son maximum.
Ce mois-ci, au moment où la saison est censée battre son plein, le nombre de visiteurs dans ses locaux a chuté de 70% par rapport à juillet 2019. En juin, c'était même pire: le compteur de l'office affichait une baisse proche de 90%. De quoi donner bien des sueurs froides aux professionnels du tourisme, de plus en plus inquiets de ces bilans de fin de journée très en deçà des normales de saison. Tous savent que le manque à gagner ne se rattrapera pas, et 2020 s'apparente déjà à une « annus horribilis ». En moyenne, on parle de chiffres d'affaires amputés des deux tiers comparé à l'an passé. Une onde de choc qui risque d'impacter l'ensemble de l'économie insulaire. En effet, en Corse, le tourisme pèse très lourd: 31% du produit intérieur brut (PIB) selon l'Insee, contre 7, 2% pour la moyenne nationale. Un levier de quelque 2, 5 milliards d'euros qui fait de l'île la région de France la plus dépendante de cette activité. Le secteur représente environ 20% des emplois, sans compter les quelque 13 500 saisonniers embauchés chaque été pour « faire la saison ».
À guère plus de 1h d'avion de Paris mais à quelques heures de ferry des ports méditerranéens, la Corse mérite au minimum 1 semaine de séjour: on s'y déplace plutôt lentement, il faut prendre le temps de s'y acclimater pour en découvrir les secrets. © pixomatose - Fotolia - Piana Une semaine dans le Nord Jour 1: Bastia. On y flâne avec plaisir, entre place Saint-Nicolas et Vieux-Port; puis montée vers la citadelle pour la visite du musée d'Histoire et, une fois en haut, en profiter pour dîner dans l'un des bons restaurants de la ville. Jour 2: au départ de Bastia, le tour du cap Corse se fait dans la journée. Arrêt à Erbalunga, pittoresque à souhait, puis repas poisson ou langouste à Centuri avant de repartir pour le spectaculaire village de Nonza. Arrivée sur Saint-Florent. Jour 3: Saint-Florent et le Nebbio. Direction les plages du désert des Agriate, Loto ou Saleccia (accès en bateau depuis Saint-Florent), à moins que vous ne filiez vers le Nebbio et ses petits villages, dont Murato et sa magnifique église San Michele.
Une restriction qui contraint la capitainerie à rechercher une solution de repli du côté du vieux port pour les quatre plaisanciers vivant à Toga à l'année. Une restriction qui risque surtout d'avoir un effet dissuasif sur la clientèle de passage et d'entraîner, à terme, une diminution de la fréquentation du port. Un gros chantier en perspective Du côté des acteurs économiques dont l'activité est directement liée à la fréquentation du port, on se serait bien passé d'une telle nouvelle. "J'ai ouvert mon affaire jeudi, ça ne pouvait pas tomber plus mal, déplore Aline Fazzini, qui vient de reprendre la gérance de la station d'avitaillement du port. Il est difficile d'évaluer l'impact que ces mesures auront sur mon activité. Les autorités ont annoncé qu'elles allaient assurer une bonne prise en charge des plaisanciers. J'espère que cela permettra de limiter les dégâts. " Car pour l'heure, les commerçants du port sont encore en attente d'informations plus détaillées. "On est un peu tombés des nues en apprenant l'interdiction d'accès aux pontons, confie Laetitia Attard, la gérante d'un magasin d'accastillage.