Hélas, toutes les âmes sœurs ne sont pas destinées à » être ensemble «. Parfois, une belle amitié aurait été préférable. Cela aurait évité bien des souffrances. Mais ne nous blâmons pas. C'est aussi comme ça qu'on apprend à discerner un amour du véritable Amour. Celui pour lequel on ne demande rien mais où l'on obtient tout. Il n'est pas aisé de faire la différence de prime abord entre la volonté de notre ego et celle de notre âme. Il n'y a que l'expérience qui puisse nous aider à y voir clair en nous montrant plus à l'écoute de notre Être. Les Liens d'Âmes ne se forment pas par hasard. Les âmes sœurs sont des êtres que nous avons connus dans d'autres existences voire sur d'autres plans et avec lesquels nous avons vécu des choses qui nous ont rapproché sur le plan du cœur. Voilà ce qui reste d'une existence à l'autre, l'Amour que nous avons développé. Ce même Amour nourrit notre Connaissance et accroît notre Sagesse. Il est donc primordial d'être à l'écoute de soi. Votre âme ne se trompe pas, elle.
Mais les âmes doubles voire triple, ne se présentent pas chez n'importe qui. Les personnes qui sont ainsi accompagnées disposent d'un niveau spirituel certain et ne développent généralement pas de troubles psychiques. Nul dans leur entourage ne se doutera de rien si elles ne révèlent rien. La schizophrénie n'a rien à voir avec ce phénomène. A côté de ces liens plutôt positifs, il existe également des liens d'âmes qu'il nous appartient de rompre. Ce genre d'expériences se révèle difficile à vivre. Concrètement, une personne s'est liée à une autre, voire s'est soumise à une autre mais cela nuit à son âme. Il va lui falloir trouver la force dans cette existence présente de défaire le lien en rompant par exemple avec l'âme qui reviendra vers elle sous les traits d'un conjoint. Ou alors il faut parvenir à pardonner ou à se faire pardonner. La liste peut-être longue et les cas de figure aussi. L'essentiel est de garder en tête dans le cas des liens négatifs qu'une fois le lien défait, l'expérience acquise sera des plus utiles dans ses relations futures.
Il ne s'accorde donc pas et on écrit « ils se sont fait renvoyer ». Faux. Il faut écrire: Les techniciens qu'il a fait embaucher seront sur place mardi. « Faits » est suivi immédiatement d'un infinitif, « embaucher ». Il ne s'accorde donc pas et on écrit « les techniciens qu'il a fait embaucher ». Phrase correcte. Faux. Il faut écrire: La banquette qu'elle s'est fait livrer ne tient pas dans son salon. « Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ». Faux. Il faut écrire: La société s'est fait connaître grâce à une vidéo postée sur Internet. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable: ici, « faite » est suivi de « connaître ». Le participe passé ne s'accorde donc pas et on écrit « la société s'est fait connaître ». Faux. Il faut écrire: Les ouvriers se sont fait payer en liquide. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable: ici, « faits » est suivi de « payer ».