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9782890191662: La Vitamine C Contre Le Cancer - Abebooks - Pauling: 2890191664

Fri, 05 Jul 2024 12:52:42 +0000

Ces résultats ont ensuite été vérifiés en implantant des cellules cancéreuses chez des souris. Le constat a été le suivant: les tumeurs se développent plus rapidement chez des animaux sur lesquels ont été greffées des cellules cancéreuses prétraitées avec de la vitamine C. La consommation de vitamine C lors d'un traitement contre le cancer est un vieux sujet à controverse, qui vient encore d'être ravivé par cette publication. Certaines études ont suggéré, parce que la vitamine C est un antioxydant, qu'elle pouvait être bénéfique pour les patients atteints d'un cancer. C'est d'ailleurs la théorie avancée dans les années 1970 par l'Américain Linus Carl Pauling, prix Nobel de chimie en 1954 qui estimait qu'ingérer une dose importante de vitamine C augmentait l'espérance de vie de patients atteints de cancer. Mais certaines classes de médicaments utilisées en chimiothérapie ont justement pour objectif de produire des radicaux libres oxygénés très réactifs qui conduisent à la mort de la cellule cancéreuse.

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» Et quand le sida est apparu, il a aussi assuré que la vitamine C pouvait le soigner. L'augmentation du risque de cancer La grande idée de Pauling se résumait en un mot: antioxydant. Résumé par Paul A. Offit: «La logique est imparable: si les fruits et les légumes contiennent des antioxydants et si les gens qui mangent beaucoup de fruits et légumes sont en meilleure santé, alors, ceux qui prennent des compléments d'antioxydants sont aussi en meilleure santé. En réalité, ils sont en moins bonne santé. » Comme le rappelait en 2011 l'AFP: « Une étude publiée le 11 octobre aux Etats-Unis indique une augmentation de 17% du risque de cancer de la prostate chez des hommes prenant de la vitamine E à haute dose. Une autre recherche américaine menée avec des femmes, parue le 10 octobre, révèle que des multivitamines étaient inutiles et accroissaient légèrement leur risque de mortalité. Déjà en 2007, des chercheurs avaient établi un lien entre un danger accru de diabète adulte et des suppléments de sélénium.

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Pendant ces deux études, les patients ont reçu de la vitamine C par voie orale et non par voie intraveineuse. Un chercheur a-t-il vraiment découvert « comment la vitamine C tue le cancer »? Stop Mensonges soutient que « c'est l'équipe du Dr Levine qui a découvert exactement comment la vitamine C tue le cancer », une allusion aux recherches de Mark Levine, un chercheur de l'Institut national (américain) des maladies diabétiques, digestives et rénales. En 2005, l'équipe de ce scientifique a publié les résultats d'une étude réalisée sur des cellules. Cette étude montre que des doses importantes d'acide ascorbique, atteignables uniquement par voie intraveineuse, « diminuent la prolifération des cellules cancéreuses », explique l'institut national du cancer. Toutefois, cette étude n'a pas été réalisée sur des humains, on ne peut donc pas savoir si ces résultats seraient observables sur des patients, souligne le blog Science Based Medecine. En 2008, Mark Levine a publié une autre étude, réalisée sur des souris.

En tant que chimiste, les travaux de Pauling avaient de véritables fondements dans les domaines de la chimie organique et de la biologie moléculaire. Ses recherches ont anéanti les bases des travaux de Francis Crick, Rosalind Franklin et James Watson, mais ont mené à la découverte de la structure de l'ADN. Lire aussi Voici pourquoi vous ne devriez pas vous retenir de déféquer En 1965, son deuxième prix fut le prix Nobel de la paix, en reconnaissance de son engagement actif en faveur du désarmement nucléaire. À ce moment, il s'efforce de convaincre la communauté scientifique que la radioactivité induite n'est pas risquée et qu'elle est toujours en dessous du seuil nocif. Pauling a publié trois études sur le sujet entre 1958 et 1959. La première montre que le carbone 14, jusqu'alors ignoré des experts, est 14 à 200 fois plus dangereux que le strontium 90. Les deuxième et troisième études montrent que, vis-à-vis du strontium 90, le risque de cancer augmente linéairement avec l'exposition et qu'il n'existe pas de seuil dès le début de la mutation.