La création d'un deuxième régiment d'infanterie fait suite à la réorganisation de la garde républicaine en 1978. Remise des drapeaux par le président de la République, monsieur Valéry Giscard d'Estaing, aux deux régiments d'infanterie créés en 1978. © Droits réservés La gendarmerie départementale Sous l'impulsion du capitaine Henri Seignobosc, le ministre de la Guerre, Eugène Étienne (1844-1921), décide, en juin 1913, de doter la gendarmerie départementale d'un drapeau. L'emblème est remis lors de la cérémonie du 14 juillet 1913 par le président de la République Raymond Poincaré (1860-1934). Le drapeau est confié à la légion de Paris pour l'ensemble des légions et des unités d'outre-mer. Le 4 novembre de la même année, il est décidé d'inscrire les noms des batailles de « Hondschoote 1793 », « Villodrigo 1812 », « Taguin 1843 » et « Sébastopol 1855 ». Ils sont accompagnés de la devise « Honneur et Patrie ». Le drapeau de la gendarmerie départementale. © Droits réservés La gendarmerie mobile Issue des pelotons mobiles de gendarmerie, la garde républicaine mobile reçoit son drapeau au cours de la cérémonie du 14 juillet 1930 et le voit décoré de la croix de la Légion d'honneur.
Six des 7 régions zonales de Gendarmerie étaient représentées par les commandants en second: les généraux Jacques Plays (Île-de-France), Gérard Escolano (Auvergne Rhône-Alpes), Eric Langlois (Bretagne et zone ouest), Philippe Ott (PACA et zone Méditerranée), Bruno Bresson (Hauts de France et zone nord), la région grand étant représentée par le colonel Xavier Perrin, commandant le groupement I/7 de Metz. Les généraux (Photo CNEFG) Les cadres du CNEFG (Photo CNEFG) Les généraux Eric Lamiral, Bertrand Cavallier, Christophe Daniel et Eric Langlois devant la stèle (Photo DC/LVDG) Deux anciens commandants du CNEFG, et grandes figures de la "mobile" étaient également présents: le général de division (2S) Pierre Durieux qui a présenté son livre " Histoire de la Gendarmerie mobile " édité par le centre de production multimédia de la gendarmerie nationale et le général de division (2s) Bertrand Cavallier, conseiller de la Voix du Gendarme. Celui qui a commandé deux pelotons, dont un blindé, (au 2/15 de Lyon Bron) et un groupement de Gendarmerie mobile (le 2/2 de Mont-de-Marsan) et qui a marqué durablement l'histoire du CNEFG, la maison mère des mobiles, a célébré à sa manière le centenaire de la mobile.
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Quatre régimes, avec quatre types de bataille qui permettent ainsi d'exalter la fonction combattante de la Gendarmerie à un moment où les relations internationales sont particulièrement tendues. Comme pour la Garde républicaine, la Gendarmerie se voit honorée avec l'inscription « Indochine 1945-1954 ». Les participations à divers titres de la Gendarmerie mobile et de la Gendarmerie départementale en Tunisie, au Maroc, mais évidemment surtout en Algérie, font l'objet ultérieurement de l'inscription « AFN [Afrique du Nord] 1952-1962 ». Élément d'identification et instrument de transmission d'une tradition, les drapeaux conférés à la Garde Républicaine puis à la Gendarmerie nationale par la Troisième République sont ceux qui continuent aujourd'hui d'être mis à l'honneur. Ils rappellent aux « soldats de la Loi » leur identité militaire qui perdure malgré les changements de régime et de ministère, plus encore, une fonction combattante dans laquelle des gendarmes s'illustrèrent aux côtés des autres armées par le passé et aujourd'hui encore en OPEX.
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