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Cass Crim 8 Janvier 2003

Wed, 03 Jul 2024 00:50:44 +0000

Résumé du document L'arrêt de rejet de la chambre criminelle de la cour de cassation, en date du 8 janvier 2003, est relatif à l'existence de la complicité en l'absence d'infraction principale punissable. En l'espèce, un conducteur a été arrêté en conduisant un véhicule dont la roue de secours contenait de la cocaïne. Pour se défendre le conducteur dit que c'est à son insu qu'on a placé les stupéfiants dans les pneus. Par ailleurs, la personne qui a placé les stupéfiants dans les pneus est retrouvée. L'élément intentionnel faisait défaut en ce qui concerne le conducteur mais pour la personne qui a placé les stupéfiants dans les pneus il apparait en raison des nombreuses réticences et contradictions dans es dépositions qu'il avait une parfaite connaissance de la véritable nature des stupéfiants. Responsabilité du fait d'autrui Commentaire de l’arrêt 8 février 2005, cass. Crim, n°03-87447 - Commentaire d'arrêt - Inès Ripoll. La personne qui a placé les stupéfiants dans les pneus a été condamnée du chef de complicité des délits d'exportation, détention et transport de produits stupéfiants commis par le conducteur les 24 septembre 1998 et 20 octobre 1998 et a été relaxée pour les faits du 20 novembre 1998.

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- la CC se contente d'un fait objectif - thèse du doyen Carbonnier II. la volonté répressive primant sur le sort du complice solution opportune mais en désaccord avec le principe de légalité - désaccord avec le principe de la légalité et de l'interprétation stricte de la loi? - remise en question de certains fondements du droit pénal? - aurait pu être motivé d'un autre chef d'inculpation (association de malfaiteur pour l'organisateur du trafic) - solution contraire à l'interprétation normale des juges = cour de cassation hésite à l'étendre (seule solution similaire en matière fiscale (15 décembre 2004) B. Fiche d'arrêt cass crim 8 janvier 2003. vers une autonomie de la complicité - solution de circonstances ou arrêt de principe? - position du droit européen: considère l'infraction de complicité comme une infraction Voila mon plan à peu près détaillé, je vous remercie d'avance:)

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bonsoir à tous, j'ai un commentaire à faire sur l'arrêt du 8 janvier 2003, j'aurais aimé avoir des avis sur mon plan et mes idées pour savoir si je suis sur la bonne voie. La chambre criminelle de la cour de cassation a rendu un arrêt remarqué 8 janvier 2003 ou elle réitère sa position d'anciens arrêts s'appuyant sur l'article 60 de l'ancien code pénal relatif à l'existence de la complicité en l'absence de fait principal punissable. En l'espèce, un homme a été arrêté pour avoir dissimulée dans la roue de secours de son véhicule des produits stupéfiants. Il affirme que c'est à son insu qu'il transportait ces substances illicites, en effet un homme l'avait mis en relation avec le fournisseur de la cocaïne, son cousin. Le conducteur est poursuivi pour avoir exporté la drogue et l'intermédiaire pour s'être rendu complice de ce délit. Crim, 8 janvier 2003, avis. La cour d'appel relaxe l'auteur de l'infraction principale pour défaut d'intention coupable et condamne l'intermédiaire comme complice des faits commis par le conducteur au motif qu'il avait connaissance de la véritable nature des substances transportées.

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En ce sens, on observera que la solution de la cour de cassation se base à la fois sur l'écartement du fait punissable (I) mais aussi sur le fait que la complicité est largement appréciée (II). Le fait punissable constaté Ainsi, il est intéressant d'analyser que la matérialité du fait punissable est strictement établie (A) comme le prouve la théorie traditionnelle. Mais aussi, que l'absence d'intention est éludée par la cour de cassation (B). France, Cour de cassation, Chambre criminelle, 08 janvier 2003, 01-88065. La matérialité obligatoirement établie Le fait punissable principal doit correspondre à une incrimination. En effet, on ne peut pas être puni d'un acte qui n'est pas sanctionnée par la loi. En effet, dans cet arrêt, le fait punissable principal est réduit à une matérialité. La jurisprudence est arrivée à cela car toujours le même problème qui est celui de l'instigation est dans la complicité alors qu'elle ne le devrait pas. Pour caractériser la complicité, il faut donc un élément matériel. Ainsi, il faut donc caractériser la complicité qui peut être de deux formes.

Résumé du document L'arrêt que nous allons commenter, rendu par le chambre criminelle de la Cour de cassation le 8 janvier 2003 a surpris par sa nouvelle conception des conditions de la complicité et donc de la répression des complices d'auteurs principaux non punissables. Il s'agissait en l'espèce de Yannick Y qui allant en Grande Bretagne dissimulait de la cocaïne dans sa roue de secours alors qu'il ignorait la véritable nature des denrées transportées. Cass crim 8 janvier 2003 watch. Le fournisseur, Youssef, de ces denrées a été mis en contact avec Yannick Y par l'intermédiaire de son cousin Ali X qui connaissait l'infraction envisagée et les manœuvres de son cousin, qui a même donner des instructions sur la livraison de ces denrées en Grande Bretagne, et rassuré Yannick Y, donner les coordonnées d'un avocat. Sommaire Une radicale nouveauté sur la conception classique de la complicité d'infraction Une nouvelle conception de fait principal susceptible d'être punissable distincte de l'infraction Une conception permettant de condamner le complice sans auteur principal L'isolement d'une solution trop critiquable Une solution très contestable Une décision non suivie d'effet par la suite Extraits [... ] En effet, l'article n'emploie pas le terme de fait principal punissable comme le fait la solution de l'arrêt.

». Cette infraction est susceptible de mettre un terme aux condamnations – juridiquement douteuses – pour vol d'informations. Il n'est d'ailleurs pas à exclure que la formule de la Cour de cassation, selon laquelle le libre accès aux informations personnelles n'est pas exclusif de leur appropriation frauduleuse, ait vocation à s'appliquer dans le cadre de cette nouvelle incrimination. [1] Cass., Crim., 8 janvier 1979, Logabax, n°77-93. 038. [2] Notamment, Cass., Crim., 12 janvier 1989, Bourquin, n°87-82. 265; Cass., Crim., 1 ier mars 1989, Antoniolli n°88-82. Cass crim 8 janvier 2003 de. 815; Cass., Crim., 9 sept. 2003, n°02-87. 098; Cass., Crim., 4 mars 2008, n°07-84. 002 [3] Crim., 20 mai 2015, n°14-81. 336 (introduction du prévenu sur un site extranet protégé par un contrôle d'accès à la suite d'une défaillance technique)